La beauté des cartes de l’extension La Voie du Maître du JCC Pokémon

09 octobre 2020

La beauté des cartes de l’extension La Voie du Maître du JCC Pokémon

Célébrez l’évolution, laissez-vous séduire par un magnifique paysage céleste, et dirigez-vous vers la ville avec la dernière extension.

Avec des milliers de cartes du JCC Pokémon en circulation, vous pourriez penser que vous avez tout vu. Mais l’un des aspects les plus passionnants d’une nouvelle extension est la façon dont les artistes du JCC Pokémon semblent trouver de nouvelles idées et façons de représenter les Pokémon. Qu’il s’agisse d’un décor époustouflant, d’une chaîne évolutive fascinante ou simplement d’une architecture intéressante, il y a toujours quelque chose qui mérite un examen plus approfondi. Voici les cartes de l’extension La Voie du Maître du JCC Pokémon qui, selon nous, méritent un second regard.


Illustrations à évolution

L’Évolution est l’une des composantes les plus fascinantes du monde des Pokémon car elle peut transformer un Pokémon adorable et doux en une espèce féroce. L’art est également transformateur, comme en témoigne la chaîne évolutive de Machoc à Mackogneur dans l’extension La Voie du Maître. L’illustration de ce trio de Pokémon est confiée à trois artistes différents, avec des résultats fascinants. L’illustrateur Shibuzoh. donne le coup d’envoi avec une représentation percutante et illustrative du Pokémon de base de type Combat, Machoc. Dotée d’une riche texture ressemblant au dessin à la craie et d’une profondeur de champ dynamique obtenue en surdimensionnant le poing balancé de Machoc, on ne peut pas passer à côté de cette carte. Le Machopeur de l’illustrateur AKIRA EGAWA n’est pas moins mémorable : il irradie la menace avec une musculature digne d’une compétition de bodybuilding. L’arrière-plan de la carte est riche en détails, de la voiture détruite à la poubelle en passant par les piliers de béton sales. Et puis il y a le Mackogneur de Niveau 2 d’Anesaki Dynamic, qui combine la beauté du Machoc de Shibuzoh. avec et la puissance physique du Machopeur d’EGAWA. Le mouvement du coup de poing emblématique de Mackogneur est capturé dans un flou coloré d’énergie et de force. Mackogneur incarne la beauté improbable d’une bataille de Pokémon, tout en conservant la force physique des Pokémon de type Combat.


Les yeux au ciel

Tout le monde aime les cieux chargés de tension ! Qu’il s’agisse d’un coucher de soleil ou d’un orage violent, on ne peut nier l’importance esthétique d’une belle voûte céleste. Les artistes qui ont travaillé sur cette dernière extension ont certainement reçu le mémo, car ils ont créé des cartes dominées par des cieux mémorables. Parmi celles-ci, la carte de Coconfort de Miki Tanaka, qui offre un dégradé de couleurs très vives. Pas de coucher de soleil pastel pour Tanaka... Au lieu de cela, l’orange mandarine devient jaune sous une riche couche de bleu cobalt. Et puis il y a la carte de Carvanha de Shigenori Negishi, qui reflète la nature du Pokémon Féroce avec ses éclairs brillants tombant du ciel. Le ciel de Negishi est si intense que l’on peut pratiquement entendre les roulements du tonnerre. Le point fort de ce paysage céleste est peut-être qu’il n’éclipse pas le Pokémon au premier plan ; le ciel intense complète la personnalité et l’apparence du Pokémon de base. Le Linéon de Galar de Niveau 1 d’Akira Komayama nous ramène au royaume des couchers de soleil pittoresques. Le Pokémon de type Obscurité prend une pose agressive sur un fond de ciel dominé par des tons violets et rosés si intenses que la couleur se reflète sur les brins d’herbe aux pieds du Pokémon. Bien que le décor convienne davantage à une photo de mariage qu’à un combat de Pokémon, le Linéon de Galar ne semble pas gêné par le superbe coucher de soleil. Au contraire, le Pokémon Fonceur semble manifestement apprécier le ciel onirique.


Tout est dans l’architecture

Bien qu’il n’y ait pas nécessairement de règles pour les décors dépeints sur les cartes du JCC Pokémon, les artistes ont tendance à représenter les Pokémon dans un cadre naturel. Qu’ils se baignent dans l’océan, se promènent dans un champ ou soient perchés dans un arbre, les Pokémon des cartes ne semblent pas vivre beaucoup en ville. Il est donc particulièrement intéressant d’observer de près les éléments d’architecture visibles à l’arrière-plan. Le Lucario-V d’AKIRA EGAWA est si détaillé qu’il faut un peu de temps pour remarquer l’arrière-plan, mais une fois que vous le voyez, le paysage urbain donne indéniablement une toute autre note au combat. Un combat de Pokémon nocturne en environnement urbain prend un accent plus sinistre que dans un décor bucolique ou diurne. Le Léopardus de l’illustrateur Hasuno évoque le meilleur de ces deux mondes. Parcourant les Terres Sauvages, Léopardus est encadré par ce qui ressemble au pont emblématique entre Motorby et la Mine de Galar n° 2. Le cadre est à la fois un rappel astucieux de l’un des lieux populaires à Galar pour la capture des Pokémon, et un cadre visuellement intéressant pour le Pokémon de type Obscurité. Et s’il n’est pas surprenant de trouver Miamiasme dans un tas d’ordures, l’illustrateur nagimiso a réussi à capturer la saleté d’une casse, un paysage urbain proche, assez d’arbres pour éloigner le Pokémon de la ville et un beau ciel pastel. Et malgré tous ces détails, Miamiasme reste le point focal de la carte, tout heureux d’être au milieu de ces déchets. La joie du Pokémon contraste brillamment avec le décor de la carte, ce qui donne un effet humoristique auquel on ne s’attend pas sur une carte du JCC Pokémon.





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La Voie du Maître
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